

Laurent Mantese : Le peu qu’il nous reste
75 pages
«La mer est calme: on rit beaucoup… Il est possible au demeurant qu'une brèche à l'arrière du vaisseau écourte la croisière: les gens en parlent, mais c'est peut-être un simple effet de mon imagination. Un homme aimable m'a donné sa provision de cigarettes, et je fume à l'avant dans le balancement des vagues, dans la fraîcheur du vent.»
Laurent Mantese livre ici, sous une forme poétique proche de l'épure, des interrogations sur la modernité déjà développées dans certains de ses recueils et romans fantastiques. Nés d'Éluard et de Cioran, de Verhaeren et de Verlaine, ces poèmes visent au cœur, guettant nos lâchetés, nos espoirs et nos contradictions, reflets d'un monde que nous n'habitons plus et qui se perpétue pourtant, dans un charivari sanglant de fin des temps, sans autre justification que sa propre durée.
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